Réélection du président de la Conférence générale, fr. Ted Wilson

Le 6 juin, la session tant attendue de la Conférence générale s’est ouverte à Saint Louis, dans le Missouri. Pour la première fois dans l’histoire de l’Église adventiste, la réunion se déroule dans un format hybride. Sur un total de près de 2 800 délégués, près de 1 000 délégués passent la session devant leur ordinateur. À l’origine, la Conférence générale devait se tenir en 2020 à Indianapolis, dans l’Indiana, mais elle a été reportée à deux reprises en raison de la pandémie de COVID-19. En raison des restrictions de voyage dues à cette pandémie, tout le monde ne peut pas participer en personne cette année. En outre, la pandémie a également entraîné une réduction de la durée de la session de 2 jours cette année.

À l’ordre du jour de la session de la Conférence générale figurent plusieurs propositions de modifications des statuts de la Conférence générale, des modifications du Manuel de l’Église et des propositions de politiques. Le premier jour de la session, les délégués ont principalement dû discuter de diverses adaptations du Manuel de l’Église. Les ajustements apportés aux textes concernant l’ordination des anciens et des diacres ont notamment suscité de nombreuses discussions.

Le premier jour, le président actuel de la Conférence générale, fr. Ted Wilson, a également été réélu. Avec le soutien de 75% des délégués, il a été demandé au fr. Wilson de déterminer la direction de l’église mondiale pour les trois prochaines années. Normalement, le président de la Conférence générale est élu pour un mandat de 5 ans, mais comme la session du CG a été reportée de 2 ans et que les statuts stipulent qu’il ne peut s’écouler plus de 5 ans entre deux sessions, la prochaine session du CG aura lieu en 2025.

Dans les prochains jours, les délégués examineront les différentes adaptations des documents de l’Église et l’élection de divers administrateurs et chefs de département de la Conférence générale.

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