L’Union franco-belge, c’est quoi ?
C’est tout d’abord un échelon dans notre organigramme d’Église mondiale. Son double objectif est le suivant : faire le lien entre la Conférence Générale, représentée sur le territoire européen par la Division intereuropéenne, et les Fédérations. L’Union est également là pour soutenir les Fédérations dans leur mission. Cela peut se traduire par des publications, des services, l’organisation d’événements ou de formations, la mise à disposition de matériel ou de ressources humaines.
L’Union franco-belge regroupe trois Fédérations et 3 pays : notre Fédération belgo-luxembourgeoise (et donc deux pays) et les deux Fédérations françaises (Nord et Sud). Le siège de l’Association est situé à Dammarie-les-Lys, au sud-est de Paris.
L’Union franco-belge, c’est qui ?
C’est un ensemble d’une quinzaine d’employés qui se répartissent des tâches d’administration, de direction de départements, de secrétariat et de trésorerie. Certains noms ou visages vous sont bien connus : Philippe Leduc qui a été notre précédent responsable Jeunesse, Ruben de Abreu, Pascal Rodet, rejoints plus récemment par Jethro Camille, Karin Eloidin et David Milard. Cinq fois par an, le Comité exécutif de l’Union composé des responsables susnommés, des présidents des trois Fédérations, du représentant du Campus du Salève et de 6 membres laïques, se réunit pour prendre ou cautionner les grandes décisions en termes d’embauche ou de collaboration, de budgets, de projets… Le dernier en date s’est déroulé le dimanche 21 avril dernier.
Quels sont les défis de l’Union franco-belge ?
Les défis sont nombreux et complexes. Représenter une instance religieuse dans un territoire sécularisé et laïc, c’est faire face à des obstacles administratifs conséquents, sans oublier les nombreuses contraintes liées aux lois, pratiques et procédures qui diffèrent d’un pays à l’autre. C’est aussi un défi multiculturel dans la propagation de l’Evangile qui reste la mission première. Faire coexister de façon équilibrée tant de nationalités, de cultures et de sensibilités différentes requiert énormément de patience, de dialogue et de communication. Un défi de taille pour l’Union est donc de comprendre, s’adapter et fournir à chaque territoire du matériel et des services correspondant à ses besoins spécifiques.
Si vous souhaitez en savoir plus, n’hésitez pas à consulter le site de l’Union franco-belge ou à prendre contact avec ses responsables.